Imaginez le tableau: en 1978, 3000 femmes marchent ensemble, dans la nuit de San Francisco, envahissent les trottoirs, s’engagent dans tous les chemins de traverse, y compris les petites ruelles que jusqu’ici elles Ă©vitaient avec angoisse, comme s’il fallait qu’aucune rue de cette ville menaçante ne pose plus de limite Ă leur dĂ©sir de libĂ©ration L’union fait la force. Pour la premiĂšre fois dans leur vie de femme, certaines affirment qu’elles ont cessĂ© d’avoir peur des allĂ©es sombres et des portes cochstĂšres. Pour la premiĂšre fois, elles occupent le terrain, et se sentent en sĂ©curitĂ©, maĂźtresses d’une ville qui jusqu’ici Ă©tait si pleine de violeurs en puissance, d’inconnus hargneux
 » Femmes, la nuit vous appartient aussi, Les 400 culs.
Pas d’accord avec tout dans l’article, mais je ne connaissais pas cette incroyable manifestation provoquĂ©e par un discours d’Andrea Dworkin.
Sur le mĂȘme sujet â genres et occupation de l’espace public : Study Reveals Women Speak Less When Outnumbered, Sci-News.com :
Scientists from Brigham Young University, Portland State University and Princeton University examined whether women speak less than men when a group collaborates to solve a problem.
In most groups that they studied, the time that women spoke was significantly less than their proportional representation â amounting to less than 75 percent of the time that men spoke
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