Que Xavier Niel et Iliad â via Free â souhaitent se donner une image dĂ©contractĂ©e, sans intĂ©rĂȘt particulier pour l’argent et le pouvoir, malgrĂ© des profits colossaux, une place de choix dans l’univers des tĂ©lĂ©communications, un conseil dâadministration peuplĂ© de hauts cadres issus du monde des banques et des grandes entreprises, et des associations directes avec (entre autres) les joyeux drilles de Goldman Sachs ou les plaisantins de Doughty Hanson & Co, cela relĂšve de leur stratĂ©gie de communication. Mais les mĂ©dias sont-ils obligĂ©s de relayer et dâaccrĂ©diter ce storytelling dâentreprise ?
 » Xavier Niel, le « capitalisme cool » Ă l’assaut des mĂ©dias (1): la construction dâun empire, Acrimed.
 » Xavier Niel, le « capitalisme cool » Ă l’assaut des mĂ©dias (2): un patron comme un autre, Acrimed.
Acrimed se lance dans une sĂ©rie de papiers sur plusieurs semaines pour Ă©clairer la personnalitĂ© et le parcours du patron de Free. DĂ©jĂ deux de publiĂ©s. Passionnant. (Et le fait que, Ă©tant chez Free Mobile, je ne puisse pas recevoir ou passer un appel entre 18h et 20h chaque jour n’a rien Ă voir avec jouissance de lire ce «mythe» dĂ©construit. Rien Ă voir.)
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