Mais l’Ă©tude sur la « webcampagne » de l’institut CSA (.pdf, 410Ko) pourrait bien jeter un froid sur les ambitions bouillonnantes des candidats sur le web. L’organisme s’est penchĂ© sur les pratiques politiques en ligne des internautes, afin de discerner l’impact rĂ©el de ces dĂ©veloppements sur l’Ă©lection Ă venir. Le verdict, pour le moment, est sans appel: une majoritĂ© d’internautes (57%) ne pratique couramment ni la recherche ni le transfert d’informations politiques, ni mĂȘme le visionnage de vidĂ©os humoristiques.
Pour les 43% d’internautes restants, l’activitĂ© politique en ligne reste relativement peu Ă©levĂ©e, et consiste essentiellement Ă rechercher des informations (34%), visionner des vidĂ©os humoristiques (18%) et Ă transfĂ©rer des informations (13%). Ils sont seulement 9% Ă Ă©couter des podcasts, 8% Ă visiter les sites des partis ou personnalitĂ©s politiques et 7% Ă commenter l’actualitĂ© politique sur les principaux rĂ©seaux sociaux (Twitter et Facebook).
 » La Webcampagne influence-t-elle les Ă©lecteurs?, L’Express. C’est bien ce qui me semblait : nous sommes en train de parler entre nous.
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